Chers Assurés,
Notre Caisse est l’objet de critiques régulières depuis plus de 10 ans. Ministère de tutelle, Cour des Comptes, Parlement et médias évoquent les difficultés éprouvées par la CIPAV et ses affiliés.
Par arrêté du 14.4.2025, Laurent CAUSSAT (IGAS) est nommé administrateur provisoire de la CIPAV jusqu'au 31.12.2025. Il assure les pouvoirs dévolus au Conseil d'administration. Il rend compte de sa mission au directeur de la sécurité sociale et lui remet un rapport sur les conditions d'exercice de son mandat.
L’examen des bases de données de jurisprudence démontre l’existence d’un vaste contentieux entre affiliés et CIPAV; la justice donne souvent raison aux cotisants.
Malgré les efforts de réorganisation et de rationalisation des services entrepris par la Caisse, malgré un important travail fait pour se rapprocher de ses affiliés, l’image de La Cipav est toujours marquée par « les affaires » abondamment relayées par les médias.
« La sérénité est une conquête » clamait André Maurois* (1885-1967). Franck et moi-même partirons à la conquête d’une restauration du prestige de notre caisse de retraite.
Pour une CIPAV fonctionnelle et humaniste, nous veillerons à :
- la réalisation des recommandations formulées par l’Administrateur provisoire,
- engager la Caisse dans un mouvement de baisse des contestations coûteuses et satisfaire les doléances des affiliés,
- promouvoir le développement des critères qualité applicables aux régimes de retraite,
- exiger une parfaite exécution de la mission de service public confiée à la CIPAV,
- œuvrer à la résolution rapide des difficultés techniques rencontrées par la Caisse,
- lutter contre les conflits d’intérêt,
- mettre en œuvre un contrôle financier rigoureux,
- favoriser un environnement social harmonieux interne à la Caisse.
La confiance est importante. Nous serons les conciliateurs attendus.
Elus pour 6 ans, les administrateurs du Groupe des Professions de Conseil sont vos interlocuteurs privilégiés et bénévoles. Nous serons, par définition, vos meilleurs conseils !
Pierre Boixareu et Franck Buleux